UN PROJET TERRES VIVANTES A SOUTENIR

http://www.kisskissbankbank.com/les-yaourts-du-soleil-des-vaches-jersiaises-dans-l-herault

 

Contribuez à la création d'un petit élevage de vaches jersiaises, pour de délicieux yaourts, crémeux et 100% naturels :)


http://www.kisskissbankbank.com/les-yaourts-du-soleil-des-vaches-jersiaises-dans-l-herault

Nos Actualités

Assemblée Générale 2014

Pétition: Arrêtons de bétonner nos terres agricoles !

Bonjour à toutes les personnes

qui lieront ce message,


 


 

Nous vous invitons à signer et à diffuser aussi largement que possible cet appel pour la préservation de nos précieuses terres agricoles. Cet appel national est destiné au 1er Ministre et au Ministre de l'Agriculture. Nous leur demandons d'adopter rapidement un mesure qui est déjà appliquée dans les DOM depuis 2012, et qui s'avère efficace. Il s'agit de donner un pouvoir décisionnel aux commissions départementales qui évaluent les politiques d'urbanisation mises en place par les collectivités locales.


Pour signer cet appel national, cliquez sur le lien suivant :
https://www.change.org/fr/p%C3%A9titions/m-le-premier-ministre-et-m-le-ministre-de-l-agriculture-arr%C3%AAtons-de-b%C3%A9tonner-nos-terres-agricoles

Il y a urgence à agir ! Dans notre pays, 78 000 hectares de terres nourricières sont urbanisés chaque année, ce qui correspond à la surface d'un département entier tous les 7 ans, ou à un stade de football toutes les 5 minutes, et cette tendance s’accélère...

 
Les conséquence de ce gaspillage foncier sont dramatiques :
  • disparition de notre agriculture et de nos filières locales,
  • diminution de notre autonomie alimentaire et augmentation du transport de marchandises,
  • imperméabilisation de nos sols qui aggrave les phénomènes d'inondations,
  • perte de notre biodiversité et destruction de notre cadre de vie,
  • ...

Une solution existe et fonctionne déjà en outre-mer. Nous demandons au gouvernement de la généraliser au plus vite à l'ensemble de notre pays.

 

NB :

  • Cet appel national est également porté en pièce jointe, ci-dessous.
  • Si vous souhaitez connaitre les organisations déjà signataires de cet appel, ou avoir plus d'informations sur cette démarche, cliquez sur le lien suivant : http://filiere-paysanne.blogspot.fr/

 

 

 

Merci de votre soutien.

Bien fertilement,

Soutenez nos agriculteurs!!!

Devenez acteur d'une agriculture durable soutenez un projet de culture légumières avec vente sous forme de paniers hebdomadaires de légumes diversifiés et de saisons.

Pour soutenir ce projet, allez sur le site My Major Company

 

Arnaud Montebourg, premier ministre du gaz de schiste

27/01/2014 à 11h38

3 octobre 2013. Europe : vers une interdiction des potagers privés

LIEN

 

Une nouvelle loi proposée par la Commission européenne souhaite l’illégalité de la pousse, la reproduction ou la vente des semences de végétaux qui n’ont pas été testées et approuvées par une nouvelle autorité, l’Agence européenne des variétés végétales. En criminalisant la culture privée de légumes, la Commission européenne remettrait le contrôle de l’approvisionnement alimentaire à des sociétés comme Monsanto.

 

Les eurodéputés verts voient d’un mauvais oeil la proposition de la Commission jugée « contreproductive et dangereuse »: « La biodiversité est en danger. Les multinationales ont focalisé leurs efforts sur la création de plantes à haut rendement, mais qui sont fragiles. Elles ne peuvent subsister que dans un environnement artificialisé dépendant des engrais chimiques et des pesticides, donc du pétrole », affirme José Bové.

Plus de semences régionales, plus de variétés ancestrales ou endémiques. Bref des semences F1, transgéniques ou pire OGM. Fin de la bio-variété dans nos jardins. Fini les jardins ouvriers et les marchés d’échanges de plants et semences entre particuliers. Bref finie la bonne bouffe.

Le texte pondu par notre chère commission européenne, rien que le titre vaut le jus : « Des règles plus intelligentes pour des denrées alimentaires plus sûres: la Commission propose un paquet législatif primordial pour moderniser, simplifier et renforcer la filière agroalimentaire en Europe ».

L’Année internationale de l’agriculture familiale 2014 (AIAF)

L’Année internationale de l’agriculture familiale 2014 (AIAF) vise à rehausser l’image de l’agriculture familiale et de la petite agriculture en focalisant l’attention du monde entier sur leur contribution significative à l'éradication de la faim et de la pauvreté, à l’amélioration de la sécurité alimentaire, de la nutrition et des moyens d’existence, à la gestion des ressources naturelles, à la protection de l’environnement et au développement durable, en particulier dans les zones rurales.

L’objectif de l’AIAF 2014 est de remettre l’agriculture familiale au centre des politiques agricoles, environnementales et sociales dans les programmes d’action nationaux, en identifiant les lacunes à combler et les opportunités offertes afin de favoriser la transition vers un développement plus équitable et plus équilibré. L’AIAF 2014 favorisera le débat et la coopération aux niveaux national, régional et mondial, pour faire mieux connaître et comprendre les défis qu’affrontent les petits exploitants et aider à identifier des moyens efficaces pour soutenir l’agriculture familiale.

QU’EST-CE QUE L’AGRICULTURE FAMILIALE?

L’agriculture familiale englobe toutes les activités agricoles reposant sur la famille, en connexion avec de nombreux aspects du développement rural. L’agriculture familiale permet d’organiser la production agricole, forestière, halieutique, pastorale ou aquacole qui, sous la gestion d’une famille, repose essentiellement sur de la main-d’œuvre familiale, aussi bien les hommes que les femmes.

Dans les pays développés comme dans les pays en développement, l’agriculture familiale est la principale forme d’agriculture dans le secteur de la production alimentaire.

Au niveau national, plusieurs facteurs clés peuvent contribuer avec succès à son développement, entre autres: les conditions agro-écologiques et les caractéristiques territoriales; les politiques environnementales; l’accès au marché; l’accès à la terre et aux ressources naturelles; l’accès à la technologie, aux services de vulgarisation agricole et au crédit; les conditions démographiques, économiques et socio-culturelles; la disponibilité d’un enseignement spécialisé.

L’agriculture familiale joue un rôle important au niveau socio-économique, environnemental et culturel.

EN QUOI L’AGRICULTURE FAMILIALE EST-ELLE IMPORTANTE?

L’agriculture familiale et la petite agriculture sont liées de façon indissociable à la sécurité alimentaire mondiale.  L’agriculture familiale préserve les produits alimentaires traditionnels, tout en contribuant à une alimentation saine et équilibrée, à la conservation de la biodiversité agricole mondiale et à l’utilisation durable des ressources naturelles. L’agriculture familiale peut être un moyen de stimuler les économies locales, surtout si elle est combinée avec des politiques spécifiques axées sur la protection sociale et le bien-être des communautés.

Projet de loi d'avenir adopté le mardi 14 janvier 2014 par l'Assemblée Nationale

Télécharger
projet loi avenir agriculture janvier 20
Document Adobe Acrobat 464.7 KB

Les chroniques d'Olivier de Robert: des tomates hors catégories

Participation au colloque européen sur la programmation de développement rural 2014-2020

Le 12 et 13 novembre 2013, au Domaine de Gaillac, Sauclières (Aveyron)

Pour avoir des informations sur les échanges de ces journées, veuillez contacter:

perrine.faber.tv@gmail.com

 

SEMENCES

Loi contrefaçon : La lutte contre la contrefaçon va t-elle nier les droits des agriculteurs ?



14.11.2013 Le 20 novembre, les sénateurs discuteront et voteront en séance publique une proposition de loi « tendant à renforcer la lutte contre la contrefaçon », un sommet dans la recherche de profit absolu. Il n'est plus ici question de vendre et d'acheter. Il s'agit, pour les firmes, de s'approprier le savoir acquis au quotidien par les paysans d'aujourd'hui et d'hier.

En 10 000 ans d'agriculture, on ne s'était jamais posé la question. Les paysans ont semé et choisit, saison après saison, les graines qu'ils allaient replanter. De la même manière, les éleveurs ont sélectionné leurs reproducteurs. C'est leur métier. C'est ce qui fait aujourd'hui de l'agriculture un domaine riche de savoirs, ce qui nous a permis de conserver la diversité du vivant. C'est un patrimoine universel qui n'a pas de prix.

On le croyait en tout cas, jusqu'à ce que certains décident de se désigner comme propriétaires de ce patrimoine. C'est donc au nom de la « propriété intellectuelle » que quelques industriels feront payer, de façon systématique, les paysans qui ne faisaient alors que leur métier.

Cette proposition de loi, et l'arsenal juridique déjà existant, piègent de fait les paysans. Ressemer des semences, donc les reproduire, sera une contrefaçon. Le paysan pourra alors voir sa récolte simplement saisie par les services de l'État. Pour éviter tout problème, il devrait donc, chaque année racheter ses semences ou payer des royalties. Le fonctionnement sera le même en élevage pour les mâles reproducteurs. Et il n'y a pas d'échappatoire ! Tout paysan qui ne pourra présenter les factures de ses semences, de ses animaux ou de ses préparations naturelles sera considéré, a priori, comme étant dans l'illégalité. L'industrie se retrouve donc seule à avoir le droit de poursuivre le travail engagé par les paysans depuis des millénaires !

Cette loi, en criminalisant le métier même de paysan, nie leur savoir, et bafoue leur liberté. Elle porte aussi l'appauvrissement irrémédiable de la biodiversité. C'est cette responsabilité que nos élus portent en ce moment. Et il est de notre devoir de le leur rappeler.

Le collectif "Semons la biodiversité" et l'Association Terre et Humanisme

http://www.semonslabiodiversite.com/

 

 

Loi sur la contrefaçon

Les semences de ferme ne seraient plus concernées (Confédération paysanne)

publiée le mercredi 22 janvier 2014 à 17h02


En savoir plus sur http://www.lafranceagricole.fr/actualite-agricole/loi-sur-la-contrefacon-les-semences-de-ferme-ne-seraient-plus-concernees-confederation-paysanne-83184.html#ZMJwEfJ8Z75TSElL.99

Les agriculteurs de la Confédération paysanne, qui avaient investi lundi le siège du Groupement national interprofessionnel des semences et plants (Gnis) à Paris, ont mis fin à leur mouvement tard mardi soir après avoir trouvé un accord avec le ministère de l'Agriculture.

 

« Le ministère s'est engagé à déposer un amendement pour que la loi (sur la contrefaçon, ndlr) ne s'applique pas aux semences de ferme », a déclaré à l'AFP Guy Kastler, responsable de la commission des semences de la Confédération paysanne. Plus précisément, le sujet semences sera « retiré par amendement gouvernemental de la proposition de loi » sur la contrefaçon et « continuera à être discuté dans le cadre de la loi d'avenir » de l'agriculture, qui abordait déjà ce thème, selon le cabinet du ministre de l'Agriculture cité par l'AFP.

 

La délégation d'agriculteurs, qui avait pénétré mardi en début de soirée dans l'immeuble du Gnis, réclamait une « exception agricole dans la loi contrefaçon » qui sera examinée à l'Assemblée nationale le 4 février 2014 après avoir été votée par le Sénat en novembre. Le texte vise à renforcer la lutte contre toutes les contrefaçons. « Cette proposition concerne l'ensemble des droits de propriété intellectuelle, y compris les droits d'auteur ou les appellations d'origine et, bien sûr, le droit des obtentions végétales qui est le droit de propriété intellectuelle particulier adopté par la France pour les variétés de semences », précise le Gnis dans un communiqué paru mercredi en réaction à ce mouvement.

 

Dans la version initiale du texte, les agriculteurs qui auraient voulu produire leur propre semence se seraient trouvés « sous la menace constante de poursuites en contrefaçon, saisie, voire destruction, de leurs récoltes », dénonçait mardi la Confédération paysanne dans un communiqué.

 

« Cette victoire est celle des paysans face à l'agro-industrie, elle est aussi celle des citoyens qui ne souhaitent pas céder leur droit à l'alimentation aux multinationales et qui nous ont soutenus. Nous resterons vigilants et continuerons à interpeller les députés afin qu'elle soit effectivement confirmée dans le texte de la loi, affirme le syndicat dans un nouveau communiqué paru mercredi. Ce n'est qu'un premier pas qui permettra de revoir l'ensemble des lois françaises et européennes sur l'appropriation du vivant par la propriété industrielle. Nous continuerons maintenant à nous battre pour que les droits des paysans d'échanger, ressemer et sélectionner leurs semences soient totalement reconnus. »

 

Le Gnis « regrette d'avoir été pris en otage dans un débat entre la Confédération paysanne et le gouvernement » mais surtout « qu'encore une fois ce syndicat utilise des moyens violents pour faire pression sur le débat démocratique ». Selon le Gnis, « l'interprofession des semences est un espace de dialogue et d'élaboration de consensus au service de la filière et donc des agriculteurs. Elle l'a encore montré récemment en faisant des propositions au ministère de l'Agriculture de nouvelles espèces pour lesquelles les semences de ferme de variétés protégées pourraient être autorisées ».


En savoir plus sur http://www.lafranceagricole.fr/actualite-agricole/loi-sur-la-contrefacon-les-semences-de-ferme-ne-seraient-plus-concernees-confederation-paysanne-83184.html#ZMJwEfJ8Z75TSElL.99

 

Les assises de l'installation 2013

La nouvelle loi d'avenir pour l'agriculture issue entre autre des assises de l'installation est en cours de vote :
 
En mode plaquette (très séduisante) :
 
Et en video by Mister Le Foll :
 
Info principale : fin de la SMI (minutes 06:40) (j'adore le mode communication du ministère : comment sortir les mots clefs que chacun veut entendre)
 
Et après il faut écouter ça pour illustrer :

http://www.youtube.com/watch?v=oNJo-E4MEk8

Pour en savoir plus

Télécharger
Assises nationales de l’installation Concertation régionale Languedoc-Roussillon
Synthèse des travaux
(version définitive du 28-05-2013)
Languedoc_Roussillon_Diaporama_cle0de3d1
Document Adobe Acrobat 170.9 KB